"Parfois, je regrette d'avoir été championne Olympique", cette déclaration de la judokate Emilie Andéol peut surprendre mais elle se comprend étant donné la situation actuelle de la
judokate française. La championne Olympique des jeux de Rio est au chômage...
Malgré son titre, les sponsors se désintéressent d'elle préférant collaborer avec d'autre judoka tel que Teddy Rinner.
Ça situation vient donc renforcer l'idée que les femmes sportives attirent peu les sponsors d'autant plus lorsqu'elles ne correspondent pas aux normes physique imposées par la société (être
mince, maquillé...).
Depuis son témoignage poignant sur sa situation actuelle au Parisien, un bel élan de solidarité dans le monde du
sport a permis à Emilie Andéol de retrouver un travail. Tout est bien qui finit bien...
Cependant, ce qu'il faut retenir de cette histoire c'est la difficile reconversion des femmes sportives une fois leur carrière terminée. C'est une bien triste réalité.
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