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"Désormais on se lève et on se barre", Virginie Despentes g

Dans sa tribune  titrée "Désormais on se lève et on se barre", Virginie Despentes décrit toute sa colère suite à l'attribution du César du meilleur réalisateur à Roman Polanski, accusé de viol et d’agressions sexuelles par douze femmes..
L'écrivaine dénonce parallèlement "le pouvoir absolu des puissants" dont la politique est "d'exiger le silence des victimes" faisant référence aux violences policières et le recours au 49.3 par le gouvernement.
Enfin, Virginine Despentes félicite Adèle Haenel pour sa décision de quitter la salle, c'est selon l'écrivaine "la plus belle image en quarante-cinq ans de cérémonie ». Pour faire face aux "puissants" elle nous encourage à imiter Adèle avec sa célèbre phrase "désormais on se lève et on se casse".

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